Juil 08

Manuel Valls content de lui-même et méprisant pour ses opposants

http://www.lepartidegauche.fr/system/images/original/Manuel_Valls.jpg?1398800421Le fait que 4 syndicats représentant la majorité des salariés aient quitté la conférence sociale ne pose pas de problème à Manuel Valls puisque le patronat était là. Son discours n’avait rien à envier à des discours de droite qu’on a pu entendre sous Sarkozy : la France vis au dessus de ses moyens, le pays est bloqué, les 40 milliards pour les entreprises ne sont pas des cadeaux au patronat (pourtant il n’y a aucune contrepartie) et il y aura des baisses d’impôts pour les classes moyennes. Toutes celles et ceux qui n’ont pas de quoi payer des impôts visiblement n’intéressent visiblement pas le premier ministre.

Tout content d’avoir pu malgré tout tenir la conférence sociale et d’avoir obtenu la majorité pour faire adopter le budget rectificatif de la sécurité sociale, Manuel Valls se moque totalement du fait que sa politique ne soit pas soutenue pas un nombre grandissant d’acteurs sociaux et même par une partie de la majorité gouvernementale. Le soutien du patronat suffit à son bonheur.

Rien ne sert donc de finasser avec lui, il est décidé à continuer la même politique quoi qu’il arrive. Il est donc plus que temps que toutes celles et ceux qui refusent cette politique qui se fait contre les classes populaires rompent les rangs et s’unissent pour construire une alternative sociale et politique qui permette de montrer qu’une autre politique est possible.

Juil 07

Jean Jaurès, une exemplarité centenaire

http://lepartidegauche.fr/system/images/original/stories-jaures2.jpg?1329475701On n’a pas toujours les héritiers que l’on mérite. La pensée et l’action de Jean Jaurès ont connu des revendications plus ou moins inattendues. Comme celle du FN, qui par voie d’affiches électorales, proclamait que le fondateur de L’Humanité aurait voté Front national. Aussi grotesque qu’indécent, car comme on le sait, le combattant pour la paix de la Grande Guerre a été assassiné le 31 juillet 1914 par un étudiant chauffé à blanc par le poison nationaliste, fonds de commerce de la famille Le Pen. Mais ce sont aussi les tentatives de récupération de François Hollande venu proclamer à Carmaux sous les huées que sa politique avait pour boussole de « suivre le cap de Jaurès » ou celle de Manuel Valls qui a sous-entendu que le député du Tarn aurait voté le pacte de responsabilité… Un documentaire, « Jaurès est vivant ! » programmé sur Arte le 8 juillet à 20.50 (et visible en replay durant une semaine sur le site de la chaîne) vient opportunément évoquer le grand homme.

Il n’était pas prédestiné à devenir un des porte-parole de la classe ouvrière. Ses débuts politiques se sont même déroulés sous les auspices tranquilles d’un républicanisme bon teint, dans l’environnement immédiat de Jules Ferry. Mais en accompagnant les mineurs de Carmaux en lutte pour la réintégration de l’un des leurs, renvoyé pour avoir été élu maire de la ville et avoir vouloir voulu exercer ses mandats, il va découvrir les limites de la république sans le socialisme et choisir son camp (Arte rediffuse le 11 juillet à 20.50 et en replay durant 7 jours sur son site un biopic de France Télévision autour de cette radicalisation, « Jaurès – Naissance d’un géant », avec Philippe Torreton pour interprète).

Agrégé de philosophie, journaliste, un des plus grands orateurs français, cet homme de mots n’en sera pas la dupe et restera étranger à tout dogmatisme, toujours attentif à la réalité. Ainsi, l’affaire Dreyfus le voit d’abord fustiger sous la pression de l’esprit du temps « la formidable puissance juive pour sauver l’un des siens ». Mais les failles et les incohérences de l’accusation le font changer d’avis. Il prend dès lors fait et cause pour le condamné et s’échine à souligner l’enjeu du combat à ses camarades qui n’y voient qu’une affaire de bourgeois. On le voit multiplier ensuite les fronts, celui de l’unité des socialistes, de la question éducative, de l’opposition à la peine de mort, de la paix contre la guerre qui monte et dont il sera une des premières victimes… « Jaurès est vivant ! » proclame ce documentaire de Jean-Noël Jeanneney et Bernard Georges en chœur avec les intervenants qu’ils ont réunis. Assurément, par ses combats toujours d’actualité mais aussi par ce mélange d’idéal et de réalisme, de réformisme et de révolution, de patriotisme et d’internationalisme qui ont caractérisé l’homme, admirable, et le politique, exemplaire.

Jean-Luc BERTET

 

Juil 04

Mémoire Socialiste : Gabriel Deville

Gabriel Deville est un homme politique français né le 8 mai 1854 à Tarbes (Hautes-Pyrénées) et décédé le 28 février 1940 à Viroflay (Seine-et-Oise).

Petit-fils de Jean-Marie-Joseph Deville, il devient journaliste à L’Égalité, le journal de Jules Guesde et publiciste après des études de droit. Auteur de nombreux ouvrages, il fait figure de théoricien du socialisme. Il est député de la Seine de 1896 à 1898 et de 1903 à 1906, siégeant avec les socialistes parlementaires. Il participe activement aux débats sur la loi de séparation des Églises et de l’État. Il ne se représente pas en 1906 et devient ambassadeur en Éthiopie, puis délégué de la France à la conférence européenne du Danube et enfin ambassadeur à Athènes.

Dans cette vidéo,  pierre Montoya nous parle de ce Tarbais, Théoricien du Socialisme trop méconnu.

Merci à notre Camarade Alejandro Espinoza pour cette réalisation

Juil 02

Mettons aussi en examen la 5ème République !

http://www.lepartidegauche.fr/system/images/original/AFFICHE-80X60-6eRep.jpgLa mise en examen de Nicolas Sarkozy est un fait extrêmement grave. Nous dénonçons tous ceux qui, à droite, jettent le doute sur la justice en parlant d’acharnement à l’encontre de l’ancien Président de la République. C’est un paravent indécent, malsain et imprudent pour essayer de faire pression sur la justice et inverser les rôles : la victime n’est pas Nicolas Sarkozy !

Mais au delà du cas de Sarkozy, c’est la 5ème République qu’il faut mettre en examen.
Cette affaire de plus confirme un régime à bout de souffle qui ne fait qu’accroître considérablement les dégâts du libéralisme et du tout-marché en matière de démocratie. La personnalisation et la concentration du pouvoir dans les mains de l’exécutif favorisent le développement d’une oligarchie politico-financière qui se sert de ses mandats et de ses places pour ses intérêts particuliers de caste. Dans une période où les mêmes, ou leurs amis politiques, imposent l’austérité au peuple c’est insupportable.

Si l’on ne veut pas que la 5ème République devienne le cercueil de la république elle-même, il est urgent de passer à autre chose. Vite la 6ème République !

Le Parti de Gauche – Eric Coquerel, Secrétaire National

Juin 28

Michel Sapin, l’aveuglement néolibéral envers et contre tout

sapin.jpgSi le gouvernement amplifie chaque jour sa politique d’austérité malgré son inefficacité et les ravages sociaux qu’elle entraîne, ce n’est pas par incompétence mais bien par idéologie. Même si le pacte de responsabilité avait réellement un impact positif sur l’emploi (ce dont on peut douter), cet impact serait selon les calculs mêmes de l’administration française moins important que les destructions d’emplois entraînées par le plan d’économie drastique imposé par le gouvernement.

Le plan d’économies de 50 milliards d’euros proposé par le gouvernement Valls dans le projet de loi de finances rectificative va en effet entraîner la suppression de 250 000 emplois à l’horizon 2017 et coûter 0,7% de croissance, selon la rapporteure générale du Budget Valérie Rabault. Selon les résultats des modèles de prévision de Bercy, le pacte de responsabilité va quant à lui créer seulement 190 000 emplois et 0,6% de croissance.

Malgré les faits et les calculs de sa propre administration, Michel Sapin continue, envers et contre tout, à imposer sa politique d’austérité. Son objectif n’est donc pas la croissance ou l’emploi, mais bel et bien de satisfaire au plus haut point les intérêts des actionnaires et des grands patrons.

Guillaume Etievant, Secrétaire national du Parti de Gauche à l’économie et au travail

Juin 19

Hamon propose aux bacheliers de réduire le chômage par la flexibilité

sans-titre (9)Les élèves composaient aujourd’hui sur l’épreuve du bac de sciences économiques et sociales dans la filière SES (le sujet ici). On sait que les enseignant-e-s et les associations sont depuis longtemps montés au créneau pour dénoncer des programmes orientés qui, se défiant du principe de laïcité, assument le modèle économique libéral comme le seul possible. Mais on pensait que l’arrivée de Vincent Peillon puis de Benoît Hamon au ministère permettrait de juguler ce flot. Patatras ! La partie « mobilisation des connaissances (6 points) » de l’épreuve du jour posait ainsi deux questions : « 1. Comment la flexibilité du marché du travail peut-elle réduire le chômage ? (3 points) 2. À quels risques économiques peuvent s’exposer les pays qui mènent une politique protectionniste ? (3 points) ». Pour répondre, vous voilà tenus d’avaler les présupposés de Hollande, Merkel et toute la clique. Mais il paraitrait que même-eux ne connaissent pas la réponse !

Tout cela pourrait être risible tant le procédé est grossier. Pourtant, c’est bien d’un côté la laïcité qui est battue en brèche et de l’autre la responsabilité ministérielle qui est engagée. Chacun-e mesure en quoi la laïcité ne saurait se réduire à un simple principe de neutralité bienveillante qui séparerait la sphère publique et la sphère privé, mais est au contraire un principe d’organisation de la société qui doit assurer l’émancipation individuelle et collective de toutes et tous. Dès lors, au-delà des religions « religieuses », il ne saurait y avoir d’église séculière qui imprimerait son idéologie au travers même de l’appareil d’Etat. C’est pourtant le cas avec les programmes de SES et donc aujourd’hui avec des sujets du bac qui érigent la « flexibilité » en outil pour « réduire le chômage », ou encore en présentant toute politique protectionniste comme un risque. Voilà des atteintes grossières à la laïcité qui qui plus est relèvent de l’absurdité économique !

Mais il faut dire que François Hollande a de longue date choisit de faire de l’école de la République un lieu d’endoctrinement pour justifier auprès des élèves et de leurs familles les politiques libérales auxquelles ils s’est rallié. Ainsi, on se souvient qu’il y a un an, en avril 2013, le Président de la République roucoulait à l’oreille des pigeons lors des assises de l’entrepreunariat en disant vouloir « stimuler l’esprit d’entreprise » à l’école. Plus récemment, c’est la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche (depuis secrétaire d’Etat) Geneviève Fioraso qui se lâchait en affirmant le 7 février au Salon des entrepreneurs : « Je pense que si on veut avoir davantage d’étudiants avec un esprit d’entreprise, si on veut avoir une vraie ‘équipe France’ (sic), c’est la culture qu’il faut changer, il faut commencer très tôt : il faut même commencer dès l’école maternelle. Moi, je suis responsable de l’enseignement supérieur et de la recherche, je commence par la recherche ! ». De la constance en somme mais qui se traduit désormais jusque dans les énoncés de l’examen républicain qu’est le bac.

La sortie d’un tel sujet interpelle aussi quant à la chaîne de commandement qui assure le dispositif de rédaction des sujets du bac. Et en dernier ressort, c’est bien la responsabilité du Ministre qui doit être posée. Les sujets proposés sont en effet le fruit d’un long parcours mais sont visés à plusieurs étapes à la fois par des Inspecteurs pédagogiques, des inspecteurs généraux de l’Education nationale, et par le recteur de l’académie en charge de la rédaction de tel ou tel sujet. Il est dès lors trop facile d’exonérer les ministres Peillon et Hamon de responsabilité dans le processus. C’est bien sous leurs ordres que se trouvent celles et ceux qui ont ainsi laissé filer de tels sujets. Et Peillon et Hamon sont pareillement coupables de ne pas avoir engagé la refonte des programmes de SES à la hauteur souhaité ce qui aurait dû amener à en exclure toutes les apologies du libéralisme qui y demeure présent non pas comme sujet d’étude mais bien comme horizon indépassable.

Décidément, les temps changent mais rien ne change. De tels articles pouvaient déjà se lire quand les Darcos, Ferry, Fillon et autres Chatel étaient aux responsabilités rue de Grenelle. Sauf que maintenant on évalue carrément les élèves sur ces bases. Là où la Droite théorisait, les solfériniens appliquent…

François Coq

Juin 18

MEDIAS et GOUVERNEMENT ou Constance et dérive

Diverses sources nous indiquent que des journalistes auraient reçu ordre du gouvernement de ne parler que de la colère des usagers à propos de la grève des cheminots.

Il n’est que voir lire ou écouter pour savoir que certains chiens de garde zélés n’avaient pas attendu cet ordre pour agir en ce sens. Il faut aussi remarquer le changement de vocabulaire des interviewers et des communicants SNCF qui parlaient en début de grève des clients voire même de « clients du service public » et redécouvrent aujourd’hui les ’USAGERS. Il ne s’agit surement pas d’une prise de conscience tardive mais plus vraisemblablement d’un recadrage ou de nouveaux éléments de langage.

Autre conflit subissant le même sort médiatique, celui des intermittents du spectacle qui «  mettent gravement en danger l’avenir des festivals et les retombées économiques qui en découlent » Fermez le ban c’est surement le seul objectif de leurs actions !

Reliant ces deux points durs de la contestation, je propose au gouvernement de supprimer le ministère de la culture et de la communication et de recréer un ministère de l’information. Si cela ne suffit pas, avec l’aide des médias, ils pourront toujours demander aux « usagers pris en otage » et aux autres de venir en places publiques brûler des livres. Il y a de tristes précédents en la matière.

Au fait, c’est sans doute parce que trop occupé par ses « fournées » familiales que le Front National qui se revendique depuis tout récemment ou que l’on présente comme le défenseur des causes sociales et des travailleurs observe sur ces sujets un silence assourdissant…

Bizarre que les médias n’aient pas relevé la contradiction… quoique…

Alain Delpeyroux Parti de Gauche 65

Juin 17

La « manifeste » du PG 65

IMG_0935Ce samedi 14 juin se tenait à Tarbes la «manifeste » première fête du Parti de Gauche des hautes Pyrénées. Le temps météorologique était heureusement clément. Le temps politique était lui aux luttes et au rassemblement puisque TOUS ceux de la Gauche étaient présents pour de grands moments d’échanges de débats et de convivialité. Les thèmes abordés lors de tables rondes furent nombreux : agriculture, économie sociale et solidaire, grands projets inutiles imposés (GPII), 6ème République, Front des luttes quand bien même plusieurs présences et interventions furent empêchées ou contrariées par les mouvements sociaux en cours qui ont et gardent tout notre soutien.

Instants politiques forts aussi dans le soutien à la cause Palestinienne et à Georges Ibrahim Abdallah(1) puis dans la dénonciation des choix politiques actuels. Refus des droites bien sur mais aussi refus de ceux qui se prétendent socialistes et/ou de Gauche et qui usurpent trahissent ou détournent tout. L’idéal Socialiste bien sur mais aussi les mots. C’est ainsi qu’ils parlent de réformes quand il s’agit de régression (retraites, ANI) ou d’assistanat au lieu de solidarité, qu’ils insistent sur le travailleur salarié qui devient un nanti et le fonctionnaire un privilégié (2) ou encore appellent à la fin des grèves aux motifs qu’ils sont les défenseurs du service public (ils disent bien défenseurs et non fossoyeurs) Dresser la liste exhaustive des ces menteries et trahisons conduirait à l’épuisement tant ils œuvrent à front renversé allant même au-delà des agissements et souhaits d’une droite qu’ils étaient censé battre et combattre confirmant qu’alternance n’est pas alternative.

Et que dire du Président actuel de cette 5ème République à remplacer qui s’en va à Carmaux, sur les lieux mêmes où Jaurès affirma son identité Socialiste, la nécessité d’amener la République au Socialisme et donc à la République Sociale, déclarer que le grand homme, le premier d’entre nous aurait voté le pacte de responsabilité ! Imposture suprême et ultime trahison. A défaut de convaincre les vivants, il fait parler les morts. Mais pas lui, pas celui à qui nous avons aussi rendu hommage lors de notre « Manifeste » et qui fut assassiné voilà 100 ans par un lâche « Vilain » jamais condamné !

Un grand bravo et un grand merci à celles et ceux qui ont œuvré pour le succès de notre « Manifeste » Fatigués mais satisfaits, ils songent déjà à la prochaine fête du Parti de Gauche des Hautes Pyrénées. Merci aussi, bien sûr, aux exposants qui nous ont fait confiance et participé au succès de cette fêteIMG_0929

 

14-06-1e MANIFESTE DU PARTI DE GAUCHE 65 013(1) Georges Abdallah :   Militant communiste Libanais condamné pour des actes révolutionnaires non établis, emprisonné en France depuis 30 ans, libérable depuis 1999 et maintenu en prison.

(2) voir le hors série de Politis juin 2014 édito de Denis Sieffert

Juin 06

Le troc indigne du gouvernement BNP Paribas – TAFTA

banque_bnp_paribas.jpgÉpargnez notre banque, et nous signerons votre accord… Comment le gouvernement français ose t il proposer au président Obama ce troc indécent ?

« Nous devons les uns et les autres totalement respecter l’indépendance de la justice. Mais nous sommes aussi des partenaires de confiance et il ne faudrait pas que cette confiance soit rompue. Cela pourrait affecter les discussions en cours sur le traité de libre-échange. » Avec ces propos de M. Sapin, dans la foulée de ceux de M. Hollande, le gouvernement se livre, entre marchandage et chantage, à un jeu indigne de ses fonctions.

Pour M. Hollande, la confiance tourne donc autour du respect de la finance et non du rejet de l’espionnage généralisé qui met en danger les libertés fondamentales ?

Mais enfin au nom de qui s’exprime le gouvernement ? Le peuple français n’a jamais choisi d’aider la finance, pas plus qu’il n’a donné son accord au projet de traité transatlantique.

Le traité de libre échange entre l’Union européenne et les États Unis ne se marchande pas. Nous ne laisserons pas brader nos réglementations sociales et environnementales sur l’autel de la finance.

Il y a un an déjà, le Parti de Gauche avait exigé la suspension des négociations, ce que le gouvernement de M. Hollande avait refusé. Loin de ces petits jeux entre amis, le Parti de Gauche reste quant à lui plus que jamais mobilisé pour contrer ce projet de traité transatlantique doublement entaché de déni de démocratie et d’indignité.

Corinne Morel-Darleux, Secrétaire nationale

Mai 27

Le vide c’est maintenant

François Hollande vient de parler pour ne rien dire. Il n’a rien compris. Un parti d’extrême-droite en tête et la gauche en guenilles sont pour lui des « circonstances ». En résumé, il ne faut rien changer pour que tout ne change pas. Non M.Hollande, les institutions ne sont pas solides, elles sont sourdes.

 

Parti de gauche

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